Ladislas KIJNO – Papier froissé signé “Les cavaliers des Marquises”

180,000Fr

Ladislas Kijno (né le  à Varsovie et mort le  à Saint-Germain-en-Laye), est un peintre français. Il s’installe en 1925 à Nœux-les-Mines (Pas-de-Calais). Il vit, depuis les années 1980, à Saint-Germain-en-Laye, près de Paris, où il meurt trente ans plus tard.

Il est une figure majeure du mouvement de la peinture informelle.

Après une enfance dans un milieu modeste, Ladislas Kijno étudie la philosophie, avec notamment Jean Grenier, puis fréquente l’atelier de Germaine Richier dans l’après-Seconde Guerre mondiale. Installé en région parisienne depuis la fin des années 1950, il a, au fil des décennies, multiplié les vaporisations en peinture et s’est imposé comme l’un des maîtres de la technique dite du froissage.

Sa rencontre avec Louis Aragon et Francis Ponge en 1943 l’a également amené à beaucoup œuvrer en collaboration avec des poètes. D’innombrables hommages habitent ses créations : Nicolas de Staël, Nelson Mandela, Galilée puis Gagarine ; mais encore les combats aux côtés des peuples algériens ou vietnamiens, mais aussi Tahiti, la Chine et l’île de Pâques.

Kijno participe à la biennale de Venise en 1980. Dans les années 1990, il travaille à la rose du portail de Notre-Dame de la Treille de Lille. Elle sera achevée 9 ans plus tard…

En 1991, un numéro de la revue L’Amateur d’art lui est en partie consacré, avec en particulier un entretien avec Jean-Pierre Thiollet, intitulé : « Ladislas Kijno : Je suis un moine de l’Art ! ».

Dimensions : 44X54 cm, encadrement à refaire.

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Description

Ladislas Kijno (né le  à Varsovie et mort le  à Saint-Germain-en-Laye), est un peintre français. Il s’installe en 1925 à Nœux-les-Mines (Pas-de-Calais). Il vit, depuis les années 1980, à Saint-Germain-en-Laye, près de Paris, où il meurt trente ans plus tard.

Il est une figure majeure du mouvement de la peinture informelle.

Après une enfance dans un milieu modeste, Ladislas Kijno étudie la philosophie, avec notamment Jean Grenier, puis fréquente l’atelier de Germaine Richier dans l’après-Seconde Guerre mondiale. Installé en région parisienne depuis la fin des années 1950, il a, au fil des décennies, multiplié les vaporisations en peinture et s’est imposé comme l’un des maîtres de la technique dite du froissage.

Sa rencontre avec Louis Aragon et Francis Ponge en 1943 l’a également amené à beaucoup œuvrer en collaboration avec des poètes. D’innombrables hommages habitent ses créations : Nicolas de Staël, Nelson Mandela, Galilée puis Gagarine ; mais encore les combats aux côtés des peuples algériens ou vietnamiens, mais aussi Tahiti, la Chine et l’île de Pâques.

Kijno participe à la biennale de Venise en 1980. Dans les années 1990, il travaille à la rose du portail de Notre-Dame de la Treille de Lille. Elle sera achevée 9 ans plus tard…

En 1991, un numéro de la revue L’Amateur d’art lui est en partie consacré, avec en particulier un entretien avec Jean-Pierre Thiollet, intitulé : « Ladislas Kijno : Je suis un moine de l’Art ! ».

Dimensions : 44X54 cm, encadrement à refaire.

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