METAKI – Gouache signée et datée 1996

60,000Fr

Christian Frémont est né à Dakar (Sénégal) de parents français, le 3 Février 1949.
Laissant les paysages et les couleurs de l’Afrique, il poursuit ses études classiques au Collège de Saint Malo.
De retour au Sénégal il commence à peindre en autodidacte et participe à la première exposition, lors de l’ouverture du Musée Dynamique de Dakar.
Au début des années soixante dix, il se passionne pour le Cinéma et retourne en France, où il fait la connaissance de quelques peintres de l’Ecole de Nice. Il s’inscrit à l’Ecole Internationale des Arts décoratifs de Nice, tout en continuant son activité cinématographique,avec le groupe Pattern. Deux films seront primés au Festival de Cannes : « Libra » et « Joan Dun » dans la catégorie Perspectives du Cinéma Français.
Dans les années Quatre vingt il s’établit en Italie,à Rome, où il travaille essentiellement comme acteur,alternant des rôles secondaires dans de grosses productions de Federico Fellini,Marco Ferreri,Liliana Cavanni, Costa Gavras, Jean Yann…et des premiers rôles dans des productions théatrales ou de télévision,comme Le Procés de Giordanno Bruno ou le Feuilleton Due Assi per un Turbo.
Au début des années quatre vingt dix, nouveau retour en France, où il reprend sa recherche picturale,cette fois çi en Bourgogne, à Gevrey- Chambertin.
Trois ans plus tard on le retrouve sur une des îles les plus éloignées de L’archipel des Marquises au beau milieu du Pacifique,où il séjourne jusqu’en 1999.Ce séjour signera un tournant décisif et fécond.

METAKI : LE VENT
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” La liberté de l’aventurier c’est la prise de conscience de son imposture “… ” Un artiste est toujours et de toute façon un imposteur ” affirme cet homme étonnant, qui allie un naturel sauvage et paradoxalement une culture raffinée, une insatiable soif de liberté et une grande disponibilité humaine.

Tout au long de son insolite parcours il a rencontré des personnages inoubliables, comme le compositeur Léonard Bernstein : ” Je lui ai peinds un sujet sur sa demande, lui demandant comme récompense…de jouer pour moi tout seul durant une heure… Il m’a comblé avec enthousiasme. C’est un de mes souvenirs les plus précieux, avec les ballades nocturnes dans Rome avec Fellini, en voiture de police, épiant les putains… ” sans parler de son aventure polynésienne, revenant avec ce surnom que lui ont donné les Marquisiens… Metaki ( Le Vent).

” Immaginer c’ est s’absenter… Loin du monde civilisé, de la douane de la mode, de la contrebande du talent,je me suis libéré de codes de pensées trop rigides et j’ai acquis une grande liberté de création ” déclare l’artiste. ” au contact de ces îles,où la Nature est d’une puissance étonnante, au contact de cette Terre, la Terre des Hommes (Henua Enana) je me suis découvert….Aller aux îles c’est effacer ses traces,et pour découvrir il faut penser autrement…J’avais besoin de m’isoler, de m’absenter,d’effacer mes traces… ”
Metaki a toujours instruit un lien profond entre la vie et L’Art, assumant cette passion au risque de sa vie et de son mental.

Aller aux îles c’est effacer ses traces… “… Et pourtant lui en a trouvé d’autres avec son regard pacifique, de celui qui voit l’invisible présence de ce qui ne se dit pas… “. D. Agniel. France Culture.

Dimensions : 36X48 cm

Parfaitement encadré.

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Description

Christian Frémont est né à Dakar (Sénégal) de parents français, le 3 Février 1949.
Laissant les paysages et les couleurs de l’Afrique, il poursuit ses études classiques au Collège de Saint Malo.
De retour au Sénégal il commence à peindre en autodidacte et participe à la première exposition, lors de l’ouverture du Musée Dynamique de Dakar.
Au début des années soixante dix, il se passionne pour le Cinéma et retourne en France, où il fait la connaissance de quelques peintres de l’Ecole de Nice. Il s’inscrit à l’Ecole Internationale des Arts décoratifs de Nice, tout en continuant son activité cinématographique,avec le groupe Pattern. Deux films seront primés au Festival de Cannes : « Libra » et « Joan Dun » dans la catégorie Perspectives du Cinéma Français.
Dans les années Quatre vingt il s’établit en Italie,à Rome, où il travaille essentiellement comme acteur,alternant des rôles secondaires dans de grosses productions de Federico Fellini,Marco Ferreri,Liliana Cavanni, Costa Gavras, Jean Yann…et des premiers rôles dans des productions théatrales ou de télévision,comme Le Procés de Giordanno Bruno ou le Feuilleton Due Assi per un Turbo.
Au début des années quatre vingt dix, nouveau retour en France, où il reprend sa recherche picturale,cette fois çi en Bourgogne, à Gevrey- Chambertin.
Trois ans plus tard on le retrouve sur une des îles les plus éloignées de L’archipel des Marquises au beau milieu du Pacifique,où il séjourne jusqu’en 1999.Ce séjour signera un tournant décisif et fécond.

METAKI : LE VENT
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” La liberté de l’aventurier c’est la prise de conscience de son imposture “… ” Un artiste est toujours et de toute façon un imposteur ” affirme cet homme étonnant, qui allie un naturel sauvage et paradoxalement une culture raffinée, une insatiable soif de liberté et une grande disponibilité humaine.

Tout au long de son insolite parcours il a rencontré des personnages inoubliables, comme le compositeur Léonard Bernstein : ” Je lui ai peinds un sujet sur sa demande, lui demandant comme récompense…de jouer pour moi tout seul durant une heure… Il m’a comblé avec enthousiasme. C’est un de mes souvenirs les plus précieux, avec les ballades nocturnes dans Rome avec Fellini, en voiture de police, épiant les putains… ” sans parler de son aventure polynésienne, revenant avec ce surnom que lui ont donné les Marquisiens… Metaki ( Le Vent).

” Immaginer c’ est s’absenter… Loin du monde civilisé, de la douane de la mode, de la contrebande du talent,je me suis libéré de codes de pensées trop rigides et j’ai acquis une grande liberté de création ” déclare l’artiste. ” au contact de ces îles,où la Nature est d’une puissance étonnante, au contact de cette Terre, la Terre des Hommes (Henua Enana) je me suis découvert….Aller aux îles c’est effacer ses traces,et pour découvrir il faut penser autrement…J’avais besoin de m’isoler, de m’absenter,d’effacer mes traces… ”
Metaki a toujours instruit un lien profond entre la vie et L’Art, assumant cette passion au risque de sa vie et de son mental.

Aller aux îles c’est effacer ses traces… “… Et pourtant lui en a trouvé d’autres avec son regard pacifique, de celui qui voit l’invisible présence de ce qui ne se dit pas… “. D. Agniel. France Culture.

Dimensions : 36X48 cm

Parfaitement encadré.

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